La capitale tchadienne semble ignorer le code de route, principal fondamental dans la régulation de la circulation d’une ville comme N’Djamena qui aspire à être une mégalopole. l’incivisme caractérisé observé à longueur de journée montre qu’il serait d’atteindre ces objectifs fixés si n’y a pas une prise de conscience. Djimtoné Ndolengar Ndolé
Circuler dans la ville de N’Djamena est un véritable parcours de combattant. Il suffit de faire un tour dans la cité capitale pour constater les dégâts. Incivisme aidant, le respect du code de route est le dernier souci des usagers de la cité capitale et cela cause souvent des embouteillages monstres empêchant ainsi la fluidité de la circulation. De l’Avenue Jacques Nadingar à l’Avenue Maréchal Idriss Deby Itno en passant par l’Avenue Maldom Bada Abas, pour ne citer que celles-ci, le constat est le même. Le spectacle est désolant. Il suffit une petite bousculade pour bloquer la circulation dans ces voie les plus fréquentée pendant des heures et ce, sous le regard impuissant des forces de l’ordre déployées dans ces artères. Et les N’Djamenois sont habitués à ce genre de scènes monstrueuses.
Tenez !!! Les panneaux et les feux de signalisation ne sont pas respectés et c’est ce qui crée souvent des accidents graves. Il est souhaitable que les autorités en charge de la circulation routière prennent des dispositions pour réguler ladite circulation. Même si beaucoup pensent que l’explosion démographique de la population de N’Djamena est à l’origine de ce phénomène, rien ne justifie l’incivisme caractérisé dont fait montre cette population. Car, il est des villes de la sous-région plus peuplées que la ville de N’Djamena, mais ne connaissent pas le nombre de cas élevés de d’accident de circulation.