Mgr Robert Francis : le nouveau Pape élu « imposé »??

La fumée blanche s’est échappée de la cheminée de la chapelle Sixtine ce jeudi soir juste avant 18 h 10. Annonçant le cardinal américain Robert Francis Prevost comme nouveau Pape. Il a choisi le nom de Léon XIV comme pontife. Cependant sont choix fait déjà polémique.

Selon plusieurs sources médiatiques, le vice président américain J.D. Vance, était l’un des dernières personnes a avoir une conversation avec le pontife à la veille de sa mort. Quelques heures après sa visite au Vatican, la mort du Pape est annoncée. Et comme fait du hasard, c’est un cardinal américain qui est nommé. D’ou la polémique autour de son vote ce 8 mai. Certains y voient une main forcée pour le contrôle du monde . Car l’actualité montre déjà le bouleversement imposé par l’amerique depuis les positions de Trump sur bon nombre de choses.

Rappelons que Donald Trump avait publié sur son réseau Truth Social un portrait de lui vraisemblablement généré par l’intelligence artificielle le montrant vêtu de la tenue papale, après avoir dit qu’il «aimerait être pape» quelques jours avant ce conclave au Vatican pour élire le successeur de François.

Cette coïncidence avec le choix de l’Américain comme Pape suscite déjà plusieurs questions et les commentaires des internautes bondent la toile. En plus sa déclaration lors de son premier discours au balcon du vatican prête à confusion. « Merci Pape Francois à plusieurs reprises ». Certains y voit un résultat arrangé.

Loin de ceux que les autres pensent, la professeure du département des sciences religieuses de l’UQAM, Catherine Foisy indique que ce Pape avec ses positions contre les décisions de Trump concernant l’immigration est la bien venue. Et pourra continuer à défendre les positions du Pape François.
Selon elle, « il se trouve dans la même ligne de pensée de son prédécesseur en ce qui a trait à l’écologie et aux migrants, notamment, ce qui le place en opposition aux positions de l’administration Trump ». En effet, «Je pense que du point de vue du collège cardinaliste, c’est aussi un signe clair à l’administration Trump, comme quoi le Vatican ne sera pas à la remorque de l’administration Trump, affirme-t-elle. Je pense que cet élément a pesé lourd dans la balance.» , a-t-elle déclaré.

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