Ce dimanche 02 mars 2025,Benjamin Netanyahu , premier ministre Israélien, annule l’acheminement de l’aide humanitaire à Gaza. ce qui entraîne de nouveau une tension entre le Hamas et l’Israël.
Selon Benjamin Netanyahu, si les otages israéliens ne sont pas libérés, il s’empassera de déposer les armes. « Si le Hamas persiste dans son refus il y aura d’autre conséquences », ajoute le ministre. Une décision qui survient juste après le rejet de l’évolution de la première phase du dépôt des armes par la Palestine.
« …Toute entrée de marchandises et d’approvisionnements dans la bande de Gaza sont suspendues », dès ce dimanche, a annoncé le bureau de Benjamin Netanyahu. Pour lui, « si le Hamas persiste dans son refus, il y aura d’autres conséquences ».
En effet, faisant suite à la mésentente sur la trêve du dépôt des armes; l’empêchement de l’approvisionnement de Gaza en denrées alimentaires par l’Israël, ce geste est qualifié de « crime de guerre » et de « violation de l’accord ».
Depuis ce dimanche matin, aucun mouvement d’entrée n’a été constaté a Gaza et ceci jusqu’à nouvel ordre. Par ailleurs Gideon Saar, premier ministre des affaires étrangères a démenti lors d’une conférence de presse un propos sur le risque de famine. Il soutient que cette décision de refus a l’aide humanitaire n’engendrera pas un risque de famine dans la bande de Gaza.
Cependant le Hamas ne reste pas les bras croisés. Et qualifie le geste de Netanyahu comme un non respect de l’accord de trêve et un crime de guerre. Israël compte répondre de ses actes en assumant sa décision suite aux conséquences qu’engendrera cette décision sur la Bande de Gaza et ses otages.
En outre, le premier ministre Benjamin Netanyahu dans son communiqué publié ce samedi 1mars 2025 a 22 h GMT est disposé à négocier en adoptant la stratégie de Stève Witkoff représentant du président Américain a faire une trêve durant la période des deux fêtes religieuses successives qui se dérouleront d’ici la fin du mois d’avril . Ceci, tout en espérant trouver des compromis entre le Hamas et l’Israël.
Rédaction: Christelle NDINGA
