L’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (L’ARCEP) a annoncé lors d’une réunion tenu il y a un jour, la mise sur pied d’une contrôle des cartes SIM téléphoniques des le 5 mai.

Il était question le 29 avril, de tabler sur la vente de cartes SIM non identifiées et le problème de sécurité que cela pose.𝐀𝐍𝐀𝐓𝐒, 𝐀𝐍𝐒𝐄, 𝐃𝐆𝐑𝐌, 𝐃𝐆𝐑𝐈, 𝐌𝐨𝐨𝐯, 𝐀𝐢𝐫𝐭𝐞𝐥 ont pu avec l’ARCEP, trouver des stratégies pour venir à bout de ce système de vente qui met en danger la sécurité du pays (terrorisme, trafic de toutes sortes, criminalité). Cette initiative s’inscrit dans un cadre plus large de protection des consommateurs et de renforcement de la sécurité publique.
« La sécurité prime sur l’aspect économique. Ceux qui refusent de se conformer devront plier bagage» a reitéré le directeur général de l’ARCEP M. Haliki Choua Mahamat aux opérateurs de téléphonie mobile.

Bien plus, il a indiqué les mesures mis sur pied pour contrecarrer cette vente. Notamment : des contrôles rigoureux menés pour vérifier la conformité des opérateurs et le respect des textes en vigueur dès le 5 mai ; des sanctions sévères attendent les contrevenants ; identification non négociable.

Il est important pour les abonnés qui jusqu’ici non pas identifié leur carte SIM de se faire enregistrer. Se rendre en urgence chez leur opérateur ou dans les points de vente agréés pour régulariser leur situation avant qu’il ne soit trop tard.