La conclusion de l’analyse faite par des laboratoires SYTRAC à Douala au Cameroun, recommandée par a Dynamique citoyenne pour la défense des droits des consommateurs (DCPDC met en doute le rapport présenté par le CECOQDA relatif à la farine de maïs jugée cancérigène. Ce qui relance le débat autour du scandale de farine de maïs Yes produite par china ping Le (CPL). Djimtoné Ndolengar.
Décidemment les promoteurs de l’entreprise chinoise CPL ( China Ping Le) ne veulent pas lâcher prise, même après la décision du Gouvernement faisant état de la fermeture et de l’interdiction de la vente de la farine Yes jugée cancérigène. Certaines associations de la société civile connues pour leur versatilité, pondent des communiqués pour demander au Gouvernement de revoir ladite décision. C’est le cas de la Dynamique citoyenne pour la défense des droits des consommateurs (DCPDC). Selon le président de cette association Moussa Mahadi, les conclusions du rapport d’analyse présentées par le CECOQDA ( Centre de contrôle et de qualité des denrées alimentaires) ne sont pas claire. Une autre expertise a été faite par un laboratoire camerounais basé à Douala, indique que l’aflatoxine de la farine Yes est « inférieure à la limite recommandée. Ce qui veut dire que la farine Yes n’est pas cancérigène comme le présentait le CECOQDA. En lieu et place de l’entreprise CPL, la dynamique citoyenne voudrait bien que l’Etat tchadien diligente des enquêtes sur d’autres produits de première nécessité tels que les jus, les pâtes alimentaires, les fruits, les produits laitiers ou encore le riz produits pas la ST. Affaire à suivre.