Entre réformes structurelles audacieuses et stabilité retrouvée, le Tchad vit une mue historique. Sous la conduite du Maréchal Mahamat Idriss Déby Itno, le pays ne se contente plus de résister aux crises ,il se transforme. Portrait d’une gouvernance où la sérénité du leader répond aux défis d’une nation en pleine métamorphose.
Alors que le Sahel traverse une zone de turbulences sans précédent, le Tchad fait figure d’exception de stabilité et de résilience. Depuis son accession au pouvoir, le Président Mahamat Idriss Déby Itno a su imposer un style de gouvernance qui détonne : un mélange de fermeté militaire pour la sécurité et de douceur diplomatique pour la cohésion sociale. Face aux critiques, souvent acerbes, le Chef de l’État a choisi une arme rare en politique : la patience.
L’Architecte du dialogue et de la paix sociale
Là où d’autres auraient pu céder à la fébrilité face aux contestations, Mahamat Idriss Déby Itno est resté imperturbable. Son « calme olympien » n’est pas une passivité, mais une stratégie de rassemblement. En initiant le Dialogue National Inclusif et Souverain (DNIS), il a ouvert les portes du palais à toutes les sensibilités, prouvant que le respect de l’opinion adverse est le socle de la nouvelle République. Cette capacité à encaisser les critiques tout en maintenant le cap de la réconciliation nationale a permis au Tchad d’éviter les déchirures civiles que beaucoup prédisaient.
Les 12 Chantiers un programme de rupture et d’action
Ce n’est pas un simple slogan, mais une feuille de route rigoureuse qui touche au cœur des préoccupations des Tchadiens. La sécurité reste un priorité absolue, avec une armée modernisée et des frontières sanctuarisées. Un projet qui prone une justice plus équitable et accessible à tous. Le défi de l’indépendance électrique, avec une transition vers le solaire est l’une des priorités. Le président n’a pas oublié l’accès universel à l’eau potable, source de vie et de dignité. Pour lui, l’éducation devra être reformée pour une élite tchadienne compétitive. En santé, la modernisation des hôpitaux et gratuité de certains soins vitaux seront mis sur pied. Sans oublié la mère nourricière, le projet veut faire du Tchad le grenier de l’Afrique Centrale. Bien plus, les Infrastructures , l’emploi des Jeunes , le Numérique et la diplomatie, sans oublier le renforcement de la représentativité féminine aux postes de décision sont au cœur du projet présidentiel.
Un bilan économique et social déjà tangible
Le pragmatisme du Président se lit dans les chiffres et sur le terrain. Sous son impulsion, le Tchad a engagé une lutte farouche contre la corruption et pour la moralisation de la vie publique. Le paiement régulier des salaires et des pensions, malgré un contexte économique mondial difficile, témoigne d’une gestion rigoureuse des finances publiques.
L’impulsion sociale est particulièrement visible dans les provinces. La relance des grands chantiers d’infrastructures (routes, écoles, centres de santé) autrefois à l’arrêt, redonne espoir aux populations rurales. Le Président ne se contente pas de signer des décrets à N’Djaména ; il parcourt le pays, à l’écoute des chefs traditionnels et de la jeunesse, incarnant cette proximité qui fait sa force.
Un leader tourné vers l’Avenir
Malgré les vents contraires, Mahamat Idriss Déby Itno a su transformer les critiques en énergie constructive. Son bilan à mi-parcours est celui d’un homme qui a compris que la grandeur d’une nation se construit dans la durée et le respect mutuel. Le Tchad de 2025 n’est plus celui de 2021 : c’est un pays en chantier, un pays qui espère, et surtout, un pays qui avance sous la guidance d’un Président dont la sagesse est devenue le meilleur rempart contre l’instabilité.
