Le candidat républicain « a été très mauvais » et Kamala Harris « a largement gagné », a estimé le politologue Larry Sabato auprès de l’AFP. « Cela ne va peut-être pas faire bouger beaucoup les sondages », a nuancé Julian Zelizer, professeur à l’université Princeton. « Mais elle l’a poussé vers le genre de discours illustrant le chaos qu’il a apporté sur la scène politique. »
Pour ce qui est de vérifier ces analyses dans les sondages, c’est encore trop tôt. Mais je vous conseille de suivre l’avancée des intentions de vote sur le site du New York Times, qui calcule la moyenne de tous les sondages.