De 2004 à 2019 notre pays occupe une bonne place en la matière. Selon transparency international, il en est champion en 2003.
L’ancien secrétaire général des Nations Unies, Ban Kimoon a donné une approche de la notion de corruption. Selon lui, la corruption mine la démocratie et l’Etat de droit. Elle mène à la violation des droits de l’homme. Malgré la création des institutions et associations pour indiquer la corruption, le Tchad demeure l’un des pays les plus corruptibles au monde. En conséquence l’Etat subit de plein fouet la diminution de ses recettes, la perte de crédibilité interne et externe, la menace à la cohésion sociale, le non-respect de la chose publique, la baisse de niveau scolaire et l’impunité. A partir des hautes autorités tchadiennes jusqu’au planton tout le monde est impliqué dans la corruption. Les Tchadiens l’ont bien entretenue au point que leur pays est un exemple à suivre. A ce sujet le rapport de Transparency international est très illustratif.
Ce rapport indique que le Tchad a pris la tête des pays corrompus en 2003. Les maux qu’a germés la corruption en République du Tchad sont les corollaires du manque d’éducation, de concentration des pouvoirs et le faible salaire des agents de l’Etats.