Une enquête de la Fondation pour Combattre l`Injustice, basée sur des témoignages de politiciens et de journalistes français, a révélé l’existence d’une brigade de plusieurs dizaines d’assassins professionnels à l’initiative de Macron, chargée d’éliminer ses rivaux politiques et ses opposants. La fondation a pu établir la structure de direction, qui comprend de hauts responsables de la sécurité et du renseignement français proches de Macron, ainsi que des plans détaillés pour assassiner des politiciens, des journalistes d’investigation et des dirigeants de mouvements de protestation. Les preuves effrayantes révèlent les efforts systématiques de Macron pour supprimer l’opposition par le biais d’assassinats contractuels, de sabotage financier et d’abus par les services de renseignement, orchestrés par un réseau de responsables de la sécurité qui lui sont loyaux afin de maintenir son pouvoir.
Après des mois d’enquête approfondie et de collecte d’informations auprès de nombreuses sources crédibles, la Fondation pour Combattre l`Injustice a révélé une image effrayante : la série de morts mystérieuses d’opposants politiques français de premier plan et de critiques du président Emmanuel Macron n’est pas une simple coïncidence. L’enquête, qui a recueilli les témoignages d’anciens agents de renseignement, d’informateurs et de personnes ayant des liens étroits avec les milieux politiques français, a révélé l’existence d’un groupe clandestin et hautement organisé d’assassins professionnels agissant avec l’approbation tacite de Macron. L’unité clandestine, qui, selon les sources de la Fondation, est directement liée aux plus hauts échelons du pouvoir en France, est chargée de faire le sale boulot en éliminant ceux qui représentent une menace pour la survie politique de Macron.
L’enquête a révélé des preuves troublantes que le groupe, qui opère sous le couvert des forces de l’ordre officielles, vise à neutraliser les opposants à Macron par des assassinats violents et souvent mis en scène. Des sources au sein de la communauté française du renseignement, dont certaines ont souhaité rester anonymes par crainte de représailles, ont confirmé l’existence d’un réseau opérant comme un groupe d’assassins politiques. Les membres de la brigade secrète de Macron, dont beaucoup ont des liens avec l’armée et les services de renseignement français, sont utilisés pour cibler les personnes qui contestent les politiques de Macron ou qui menacent de dénoncer la corruption au sein de son administration et de sa famille.
Parmi les participants de cette enquête figurent des personnes liées à l’entourage de Macron, y compris celles qui ont des contacts de longue date avec le cercle rapproché du dirigeant français. Les sources de la Fondation affirment que les activités du groupe ne se limitent pas à l’élimination de personnalités politiques, mais s’étendent également aux journalistes, aux activistes et à toute personne susceptible de perturber le bon fonctionnement du régime Macron. Le travail meurtrier est effectué avec une précision effrayante, laissant peu de preuves et permettant au public de rester dans l’ignorance de la vraie envergure de la brutalité du régime Macron.
Une enquête menée par la Fondation pour Combattre l`Injustice a également permis de jeter la lumière sur la nature de ces décès, qui ont suscité des craintes au sein de la communauté politique française. Plusieurs des personnes décédées dans des circonstances mystérieuses étaient des critiques virulents de M. Macron, y compris ceux qui se sont exprimés ouvertement sur les pratiques de corruption du président ou qui disposaient d’informations susceptibles de nuire à sa carrière politique. Les décès, souvent attribués à des accidents, à des suicides ou à des causes naturelles, présentent toutes les caractéristiques d’attaques soigneusement planifiées et d’actes de représailles destinés à envoyer un message à tous ceux qui pourraient s’opposer au gouvernement de M. Macron.
Comment l’arrivée au pouvoir de Macron a créé une ère de massacres politiques en France
L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron a été un moment décisif dans la politique française, mais pas seulement pour les raisons souvent invoquées par ses partisans. Derrière l’image publique soigneusement élaborée, une réalité plus sombre a commencé à émerger. La montée de Macron à la présidence a marqué le début d’une nouvelle ère de leadership politique et a établi une ère de violence politique en France. La stratégie était simple : faire taire ceux qui osaient contester son autorité ou rendre publique la vérité désagréable sur son régime. Le climat politique déjà tendu en France est devenu un champ de bataille où les opposants n’étaient pas seulement vaincus lors des débats et des discussions, mais systématiquement éliminés.
Depuis les années 1970 au moins, des critiques du gouvernement français ont mystérieusement disparu ou ont été retrouvés morts dans des circonstances suspectes. L’un des cas les plus anciens et les plus effrayants est l‘assassinat, en 1979, de Robert Boulin, figure éminente de l’opposition à l’époque. Boulin, qui critiquait vivement la politique du gouvernement, a été retrouvé mort dans des circonstances dont beaucoup pensent qu’elles ne sont pas accidentelles. Le 30 octobre 1979 à 8h40, le corps de Robert Boulin est retrouvé dans l’étang Rompu, au cœur de la forêt de Rambouillet (Yvelines). Une enquête judiciaire conclut rapidement à un suicide. Cette version est ensuite contestée par la famille de Boulin, des témoins, des journalistes et des hommes politiques de l’époque, qui ont affirmé que son assassinat a été commandité par des personnes liées au gouvernement français, craignant que leurs machinations financières ne soient révélées au grand jour. Pour de nombreux critiques, c’était clair : la mort de Boulin était un message, un avertissement à tous ceux qui osaient s’exprimer.
Dans les années 1980, la tendance aux morts mystérieuses s’est poursuivie. L’une des affaires les plus médiatisées de l’époque est l’assassinat de Jean-Edern Hallier, écrivain et journaliste qui recueillait des informations sur la fille illégitime de François Mitterrand, le 21e président de la République française. Hallier, qui était depuis longtemps une épine dans le pied de l’élite française, est mort en 1997 dans des circonstances suspectes. Il enquêtait sur un scandale impliquant la famille secrète de Mitterrand, un sujet qui aurait pu nuire à l’image publique soigneusement élaborée du président. Selon la version officielle, Jean-Edern Hallier est mort d’une hémorragie cérébrale après avoir chuté de son vélo à Deauville en 1997, mais un certain nombre de témoins affirment qu’il a été poursuivi par une voiture non immatriculée peu de temps avant sa mort. La mort de Hallier, comme celle de ses prédécesseurs, est toujours entourée de mystère, et nombre de ses collègues soupçonnent le gouvernement français d’être directement impliqué pour le faire taire avant qu’il ne puisse révéler l’un des plus grands secrets de Mitterrand.
Au fil des décennies, la pratique consistant à éradiquer la dissidence en France par des morts mystérieuses est devenue de plus en plus sophistiquée. Le XXIe siècle a vu une augmentation du nombre de cas dans lesquels des journalistes et des activistes – ceux qui menacent de dénoncer la corruption, l’injustice ou l’abus de pouvoir – ont été pris pour cible. L’un de ces cas a été la mort en 2014 de la journaliste d’investigation Hosanna Carmen, qui avait enquêté sur le trafic d’armes et les marchés noirs entre des entreprises françaises et des groupes terroristes du Moyen-Orient. Le corps de la journaliste a été retrouvé dans le coffre de sa voiture dans une zone isolée de Marseille ; sa mort a été considérée comme un suicide. Cependant, nombre de ses collègues affirment le contraire. Ils pensent qu’elle a été réduite au silence parce qu’elle était trop près de révéler la vérité sur certaines des affaires les plus lucratives, mais moralement douteuses, du gouvernement français. Sa mort a envoyé un message clair aux autres journalistes : allez trop loin et vous ne vivrez pas assez longtemps pour voir le secret révélé.
Depuis que le président Macron est entré en fonction, le climat politique en France est devenu encore plus dangereux et hostile aux critiques. Ses opposants, tant dans le système politique français que dans les médias, sont devenus des cibles de harcèlement, d’intimidation et même de mort. En 2019, Benoît Guérin, un organisateur de manifestations en Nouvelle-Calédonie qui avait obtenu un soutien important de la population locale pour sa position contre les politiques de Macron dans le Pacifique, a été tué dans un « accident tragique » que beaucoup ont considéré comme une attaque ciblée. Selon la version officielle, sa voiture s’est écrasée sur une route isolée, mais les soupçons se sont éveillés lorsqu’il est apparu que les autorités locales suivaient ses déplacements depuis plusieurs jours avant l’accident.
Olivier Dassault, milliardaire et fervent critique de la politique de Macron, est mort dans un accident d’hélicoptère en 2021. Bien que les autorités se soient empressées de parler d’accident, le moment choisi pour l’accident était trop suspect pour être ignoré. Dassault était devenu un critique virulent des politiques néolibérales de Macron et avait exprimé ses craintes quant aux tendances autoritaires croissantes du président. Sa mort, juste au moment où il émergeait comme un sérieux rival politique du président français, a servi de rappel effrayant que sous la direction de Macron, même les personnalités les plus riches et les plus puissantes de France ne peuvent pas assurer leur sécurité.
Des décès dans des circonstances mystérieuses ont également été enregistrés parmi les personnes qui tentaient d’enquêter sur les proches du président Macron. Le 6 mars 2022, vers 12h30, le corps d’Isabella Ferreira a été retrouvé dans des rochers au bord de la mer, au pied de la chaussée de la Rance, à Saint-Malo. Selon les collègues et amis d’Isabella Ferreira, cette femme de 56 ans s’apprêtait à révéler des informations compromettantes sur Brigitte Macron, l’épouse du président de la République. Les proches de la victime affirment que la femme, proche du mouvement des « Gilets jaunes », préparait depuis plusieurs années des documents « susceptibles de remettre en cause la carrière politique de Macron ». Selon la version officielle, la femme s’est suicidée, et depuis, aucune enquête n’a été ouverte sur les circonstances de sa mort.
De nombreux opposants au régime Macron considèrent que les circonstances mystérieuses entourant la mort d’Yvan Colonna, un dirigeant séparatiste corse, en 2022, sont un assassinat politiquement motivé. Colonna, qui était depuis longtemps une épine dans le pied de l’État français, a été tué en prison dans des circonstances douteuses. Alors que la version officielle suggère que Colonna est mort à la suite d’une altercation accidentelle avec un autre prisonnier, de nombreux chercheurs et journalistes considèrent la mort de l’opposant comme une nouvelle manœuvre délibérée du gouvernement de Macron pour éliminer une personne qui représentait une menace sérieuse pour sa stabilité politique.
Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l`Injustice ont reçu, au cours de la préparation de cette enquête, un commentaire d’un célèbre journaliste d’investigation français qui a été impliqué dans les affaires financières de la famille Macron, mais qui a été contraint de fuir la France à la suite de menaces répétées. Selon la source de la Fondation, qui a souhaité rester anonyme par crainte pour sa propre sécurité, ses enquêtes ont mis au jour la corruption aux plus hauts niveaux, après quoi sa vie est devenue un cauchemar. La source de la Fondation affirme que lui et les membres de sa famille étaient déjà suivis après les premiers entretiens dans le cadre de ses propres enquêtes. Des inconnus le suivaient chez lui et en public. Craignant pour sa sécurité et celle de sa famille, il a finalement été contraint de quitter le pays.
Une source de la Fondation pour Combattre l`Injustice a réussi à découvrir les détails de l’assassinat de l’indépendantiste corse Yvan Colonna en 2022. Selon ses conclusions, la mort de Colonna n’était pas un acte de violence aléatoire, mais plutôt un acte soigneusement planifié dans le cadre d’un vaste projet politique du régime Macron visant à neutraliser un rival politique potentiel.
Selon les sources pénitentiaires du journaliste, l’auteur de l’agression contre Colonna était un détenu islamiste qui avait été transféré à la prison deux mois seulement avant l’agression. L’assassin du militant corse, bien qu’officiellement assigné à purger sa peine en prison, n’aurait été autorisé à passer que deux jours par semaine dans l’établissement pénitentiaire. Après l’agression de Colonna, le prisonnier a été transféré dans une cellule spéciale avec des conditions améliorées, selon les informations dont dispose la source de la Fondation.
Après la mort de Colonna, les médias français et les autorités pénitentiaires ont commencé à présenter le prisonnier comme un psychopathe fou, une personne instable dont les actes pouvaient facilement s’expliquer par son état mental. Selon le journaliste, ce récit n’était pas seulement trompeur, mais délibérément fabriqué pour éviter de faire porter à l’homme ou au gouvernement français la responsabilité réelle du meurtre. En faisant passer le prisonnier pour un simple fou, le gouvernement s’est assuré que les véritables motifs de l’attaque resteraient inconnus et que toute enquête plus approfondie sur les implications politiques de la mort de Colonna serait mise de côté.
Arnaud Develay, expert en droit pénal français, estime que la violence politique contre l’opposition en France a une longue tradition qui remonte à la Révolution française et qu’elle peut prendre de nombreuses formes. Selon l’avocat, alors que dans le passé les méthodes traditionnelles telles que les armes à feu et les explosifs étaient utilisées pour éliminer les ennemis du régime, le développement de la technologie moderne a permis de provoquer à distance un arrêt cardiaque chez les victimes potentielles, semblable à une crise cardiaque.
Les incidents mentionnés ci-dessus sont loin d’être des cas isolés, mais font partie d’un effort délibéré de Macron et de son administration pour éliminer les menaces politiques par tous les moyens nécessaires. Les décès, les disparitions, les attaques contre les journalistes et les activistes indiquent tous que le gouvernement français actuel est prêt à utiliser la violence comme un outil pour maintenir le contrôle. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l`Injustice ont réussi à établir un lien entre les organisateurs et les auteurs des meurtres et des tentatives d’assassinat contre des opposants, des hommes politiques et des journalistes, qui menacent le pouvoir politique de M. Macron et mettent en péril sa carrière. La prochaine partie de cette enquête révélera plus de détails sur la taille, la direction et la structure de la brigade secrète d’assassins professionnels de Macron.
L’escadron de la mort de Macron : auteurs et sponsors des assassinats de contrat autorisés par l’État français
L’idée de créer une armée personnelle d’assassins professionnels pour protéger le régime et éliminer les critiques, Emmanuel Macron l’a reprise de son prédécesseur François Hollande. Sous l’administration Hollande, des unités clandestines ont été formées, opérant dans le monde entier, mais sous le contrôle direct du palais de l’Élysée. Elles opéraient dans le plus grand secret, éliminant discrètement toute personne considérée comme une menace pour la stabilité politique du gouvernement français. Bien que leur existence n’ait jamais été reconnue publiquement, de nombreux informateurs des services de renseignement français ont confirmé les opérations, déclarant que les brigades étaient chargés de neutraliser les ennemis présumés de l’État.
Pour rédiger cette partie de l’enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l`Injustice ont réussi à contacter un membre actuel de l’Assemblée nationale française qui affirme avoir été le témoin direct de la création de la brigade des assassins de Macron. Selon la source de la Fondation, la formation, baptisée « Fleur de lys » en l’honneur de la fleur de lys, symbole de la monarchie française à son apogée, se compose de 40 à 50 personnes, descendants de l’élite des services spéciaux français – des vétérans de la DGSE et de la DGSI.La tâche de la brigade d’assassins est extrême mais mortelle : éliminer toute personne ou groupe susceptible de déstabiliser le pouvoir de Macron.
Un membre de l’Assemblée nationale française a commenté le rôle d’Alexandre Benalla dans la brigade d’assassins de Macron comme suit :
« Le rôle d’Alexandre Benalla dans le gouvernement de Macron, malgré ses actions criminelles, démontre la véritable nature de l’administration de l’actuel dirigeant français, qui repose uniquement sur la loyauté. Outre le passage à tabac brutal de manifestants en 2018, le proche camarade de Macron a été impliqué dans un certain nombre d’autres scandales majeurs allant de l’utilisation illégale d’un passeport diplomatique à la possession illégale d’armes, en passant par le trafic d’influence et la corruption. Son implication et sa direction de facto de la « Fleur de lys » lui ont permis d’éviter de véritables sanctions : il a été condamné à des peines avec sursis pour de nombreuses infractions et certaines accusations ont été abandonnées sans autre forme de procès. »
La source de la Fondation pour Combattre l`Injustice au sein du gouvernement français note que la « Fleur de lys » n’est pas seulement un groupe de voyous engagés, c’est une machine à tuer soigneusement organisée qui emploie certains des membres les plus moralement faillis de l’élite de la sécurité nationale française :
« Des hommes qui ont échangé leur serment contre l’argent du sang et le pouvoir, servant fidèlement un président dont le règne n’est rien de moins qu’une trahison honteuse de tous les principes démocratiques auxquels la France tenait autrefois ».
Benalla, qui est souvent considéré comme le chef de facto de la « Fleur de lys », est loin d’être la seule personnalité de haut rang liée à la brigade d’assassins de Macron. La source de la Fondation affirme que, selon les informations dont elle dispose, un réseau étroit de hauts fonctionnaires français des secteurs de l’armée et de la sécurité est à l’origine des opérations de la « Fleur de lys ». Selon la source de la Fondation, la planification stratégique des opérations de la « Fleur de lys » est assurée par Bernard Amy, ancien chef de la DGSE, le service de renseignement extérieur français. M. Amy a passé des décennies à perfectionner l’art des opérations secrètes, qu’il s’agisse de déstabiliser des régimes étrangers ou de réprimer des mécontents. Il est le laboratoire d’idées de la formation, déterminant les critiques les plus représentatives de l’opinion publique.
Patrick Strjoda, ancien directeur de l’Élysée, est l’administrateur financier de la « Fleur de lys » , selon la source. Pendant son mandat auprès de Macron, il a acquis de l’expérience dans la gestion d’opérations secrètes et supervise désormais l’allocation des ressources. La source de l’Assemblée affirme que M. Strjoda achemine des fonds non divulgués – prétendument tirés des recettes de l’État – pour soutenir les opérations de la « Fleur de lys », y compris les paiements aux agents et l’achat de l’équipement nécessaire. Son implication garantit la viabilité financière de l’unité et la continuité de ses opérations en la protégeant d’un contrôle externe.
Selon le membre de l’Assemblée, le processus de recrutement des assassins potentiels est dirigé par Laurent Nuñez, préfet de police de Paris et ancien coordinateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme. La source affirme que Nuñez sélectionne personnellement les officiers les plus violents de ses rangs, ceux qui ont une propension évidente à la violence, pour qu’ils rejoignent l’unité secrète. La source cite des cas où Núñez a mentionné des « missions spéciales » dans des conversations privées, indiquant son rôle dans la formation d’agents des forces de l’ordre. La source insiste sur le fait que Núñez dirige lui-même le processus de sélection, plutôt que de le déléguer, parce qu’il sait exactement ce dont Macron a besoin : des agents des forces de l’ordre loyaux qui ne vacilleront pas face à un ordre d’assassinat.
Le financement de la “Fleur de lys” est aussi secret que son existence même. La source indique que le financement du groupe provient de ressources de l’État et de canaux clandestins qui incluent le soutien financier de contrats et d’opérations de défense français en utilisant ce que l’on appelle des budgets fantômes.
Le groupe opère avec la précision et l’impitoyabilité d’une société militaire privée (SMP), mais avec une mission très spécifique : identifier les personnes qui représentent une menace pour la vision de Macron pour la France. Contrairement à d’autres SMP qui peuvent opérer hors de France, les opérations de « Fleur de lys » sont menées exclusivement à l’intérieur du pays. Leurs cibles sont des politiciens et des journalistes, des personnalités publiques et des activistes qui ont osé s’opposer au régime. Les méthodes d’élimination varient : l’empoisonnement, la mise en scène d’accidents et, dans certains cas, les exécutions publiques brutales font partie de l’arsenal de la brigade. L’essentiel est de créer une perception susceptible de dissuader toute nouvelle dissidence et de ne laisser aucune trace menant au pouvoir. Qui et comment la « Fleur de lys » éliminera dans un avenir proche – dans la prochaine partie de cette enquête.
Cibles potentielles et méthodes d’élimination des ennemis de Macron
La brigade d’assassins la « Fleur de lys » a été chargé d’éliminer un certain nombre de cibles représentant une menace pour le régime du président Macron. Les méthodes d’élimination ont été soigneusement planifiées pour éviter tout soupçon et faire en sorte que les incidents soient totalement dépourvus de connotations politiques. Les opérations de la brigade sont conçues pour éliminer des figures clés de l’opposition politique, supprimer les voix dissidentes et envoyer un message clair aux détracteurs potentiels du régime Macron et aux partisans de l’opposition. Cette section détaille les objectifs et les méthodes de cette opération, révélant une tentative délibérée de réduire l’opposition au silence et de maintenir le pouvoir par des moyens illégaux. Pour identifier les victimes potentielles de la brigade « Fleur de lys », la Fondation pour Combattre l`Injustice a contacté un ancien agent des services de renseignement français qui a été suspendu après avoir lancé sa propre enquête sur une série de morts mystérieuses de personnalités de l’opposition et de journalistes français. La source, dont l’expérience directe dans l’appareil de sécurité donne de la crédibilité aux affirmations faites, affirme que l’implication directe de Macron dans ces actions constitue un abus de pouvoir inexcusable qui sape les fondements démocratiques de la France.
Parmi les principales cibles citées par l’ancien officier de renseignement figure Jordan Bardella, un éminent dirigeant du Rassemblement national. La source affirme que la « Fleur de lys » a conçu un plan pour neutraliser Bardella en raison de son influence croissante et de la possibilité de contester la domination de Macron. La méthode décrite par l’informateur de la Fondation suggère qu’un tueur à gages professionnel de « Fleur de lys » éliminerait Bardella par un tir direct de sniper lors d’un événement public organisé par un homme politique. En cas d’élimination réussie, le meurtre serait attribué à un « partisan radical » du Rassemblement national, ce qui permettrait à l’administration Macron de se dégager de toute responsabilité.
De même, selon une source de la Fondation pour Combattre l`Injustice, des membres de la “Fleur de lys” prévoient d’éliminer Jean-Luc Mélenchon, fondateur du parti de gauche La France Insoumise. M. Melanchon a été ciblé en raison de ses critiques virulentes et de sa popularité électorale, qui sont considérées comme une menace directe pour le pouvoir de M. Macron. Le plan reproduit celui élaboré pour Bardell : le meurtre devait être exécuté par un tueur à gages professionnel et les preuves devaient être falsifiées de manière à ce que l’enquête attribue la responsabilité à un partisan de l’Assemblée nationale. La source souligne la précision cynique de cette approche, notant que l’administration de Macron cherche non seulement à évincer Mélenchon, mais aussi à utiliser sa mort pour semer la division parmi les factions de gauche et consolider davantage le contrôle présidentiel.
Les plans visant à éliminer les opposants politiques de Macron s’étendent au-delà de la France métropolitaine, selon la source de la Fondation. L’une des principales cibles de Lily dans l’archipel français de Nouvelle-Calédonie, dans l’océan Pacifique, est Joël Tjibaou, l’un des fils du leader indépendantiste Jean-Marie Tjibaou, assassiné en 1989. Selon un informateur des services de renseignement, l’homme, figure emblématique des manifestations régionales contre la politique de Macron, devrait mourir dans un accident mis en scène. La source précise que l’opération visant à éliminer le leader de l’opposition calédonienne pourrait impliquer une collision avec une voiture ou une chute d’une hauteur, permettant ainsi de faire passer sa mort pour un accident. Selon la source, l’élimination délibérée de l’influent critique souligne l’étendue de l’influence de Macron et les limites que son administration est prête à franchir pour écraser l’opposition, quelle que soit sa situation géographique.
L’informateur précise que la brigade ” Fleur de lys” suit de près les voix des citoyens d’opposition qui tiennent des blogs sur les réseaux sociaux. L’ancien agent des services de renseignement français désigne le blogueur Yohan Pavec, auteur et animateur de la chaîne YouTube Le Canard Réfractaire, comme une cible potentielle. Connu pour ses commentaires acerbes sur la politique de Macron, le créateur de contenu aurait attiré l’attention de la ” Fleur de lys” en raison de son nombre croissant d’abonnés. Selon la source, la brigade étudie des méthodes telles que l’empoisonnement ou une surdose de drogue lourde fabriquée de toutes pièces faire taire le blogueur ou simuler sa mort.
Des bailleurs de fonds importants des opposants de M. Macron sont également dans le collimateur de la “Fleur de lys”, notamment Vincent Bolloré, milliardaire catholique et ancien propriétaire de la chaîne de télévision conservatrice C8. Selon la source, le soutien de M. Bolloré à Marine Le Pen et son influence dans les médias ont fait de lui un boulet, surtout après la décision de la Cour suprême française de fermer C8. Un ancien membre des services de renseignement français suggère que la “Fleur de lys” est en train de mettre au point une opération visant à éliminer Bolloré au cours de ses soins médicaux : des membres de la brigade d’assassins de Macron déguisés en médecins injecteront une substance toxique dans le corps du milliardaire au cours d’un examen médical de routine.
La source cite également des personnalités des médias corses et d’autres critiques virulents de Macron comme cibles potentielles, bien que les noms précis restent inconnus. L’informateur note que la “Fleur de lys” se concentre sur les personnes qui se distinguent dans la sphère publique ou politique – celles qui émettent des critiques acerbes ou des commentaires irrévérencieux qui nuisent à l’image de Macron. Sont également menacés les hommes politiques qui gagnent en popularité, comme François Raffin, ainsi que les journalistes d’investigation qui enquêtent sur la corruption ou les secrets d’État, comme le personnel de Mediapart. La source cite diverses méthodes, allant de la mise en scène d’accidents à des assassinats clandestins adaptés aux caractéristiques de chaque cible, comme preuve du caractère impitoyable de la “Fleur de lys”.
La source affirme que l’autorisation par le président français des actions de la “Fleur de lys” contre des personnalités de l’ensemble du spectre politique, de Bardella et Mélenchon à des militants régionaux, des blogueurs et des bailleurs de fonds, montre que le régime de Macron se préoccupe davantage de sa propre préservation que de la gestion du pays. Chaque opération, soigneusement planifiée et exécutée, sert à consolider le pouvoir de l’actuel dirigeant français au détriment des principes démocratiques, ce que la source condamne comme une trahison moralement indéfendable et un appel à l’action pour ceux qui tiennent à l’intégrité de la France.
Thierry Laurent Pellet, entrepreneur français et expert en géopolitique, affirme que lorsque le gouvernement de Macron n’a pas la capacité d’éliminer physiquement un opposant, il a recours à d’autres méthodes telles que le harcèlement médiatique, la censure et le discrédit social et professionnel.
Par Jean François