Le Secrétaire général de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf), WAMKELE MENE, effectue une visite de travail ce jour au Tchad.
Il s’agit d’une visite de travail dans le but d’évaluer la mise en œuvre de l’Accord portant création de la ZLECAf. Le secrétaire général de la Zelecaf, pourra ainsi échanger avec les autorités tchadiennes , les acteurs du secteur économique, de l’industrie public et privé.
Au programme, un séminaire sera coordonné par le SG de la Zelecaf entre 13 h et 16 h à l’hôtel Radisson Blu de Ndjamena. Ceci, pour « échanger sur les enjeux stratégiques et les défis liés à l’application de cet accord, ainsi que sur les opportunités qu’il offre pour le développement du commerce et de l’économie nationale ».
L’accord et la compréhension de ATNOR
La ZLECAf vise à créer un marché unique de plus de 1,3 milliard de personnes. Dans ce contexte, les normes internationales jouent un rôle important dans la facilitation des échanges commerciaux. Et pour s’arimer le Tchad doit faire plus d’effort. Car en terme d’infrastructure routière moderne, le pays de Toumaï a encore beaucoup à faire.

Il faut dire que la Zelecaf, est un moyen pour faciliter à les transactions commerciales, et améliorer la qualité des produits et services échangés. Elle permet tout aussi de réduire le coût des marchandises. Au Tchad, le respect des normes internationales peut contribuer à stimuler le commerce intra-africain et favoriser la croissance économique du pays.
Selon l’Agence Tchadienne de Normalisation (ARBOR), le respect des normes internationales, « peut définir des exigences en matière de qualité, de sécurité, de durabilité, etc. Cela permettra aux entreprises tchadiennes de produire des produits et services de qualité supérieure, ce qui peut donner un avantage concurrentiel ».